C’est une famille. Deux enfants, deux parents, ou l’inverse. Et puis tous les parents et les enfants autour, tous les nôtres, ceux que l’on sait là, qui nous accompagnent dans ce voyage comme dans la vie.

Nous, c’est toute une histoire, une histoire d’amour.

De celles qui s’écrivent à plusieurs plumes, à plusieurs voix qui s’entremêlent, se coupent et se raillent, éclatent et se font entendre, se chuchotent, n’osent pas.

Ont peur de ne plus oser…

S’emballent alors.

Et que vive la vie les rencontres le voyage. Que naisse ce temps suspendu comme une brèche dans nos minutes quotidiennes, et si de nos fêlures apparaît la lumière tant mieux, parce que dans cette brèche nous y fourrons pêle-mêle, nos envies de rallonger l’enfance, peu importe laquelle, de respirer bouffer embrasser d’autres horizons, de prendre le temps de vivre à 4000. De partager. Vite, lentement.

Chacun met dans ce voyage un peu de ce qu’il est, bien entendu. Avec les rêves de tous. Avec au fond cette urgence de rêver, de vivre, de suivre ce à quoi nos espoirs nous invitent. A l’incertain, à l’inattendu.

Inattendu… mais espéré

Comme une respiration. Des retrouvailles avec le monde et sa pulsation. Et vaguement, le goût salé de l’aventure qui sollicite nos sens.

Alors nous, c’est aussi ce qui se construit au fil de nos pas, sur cette terre comme dans nos vies.